RIFLESSIONE
Tra
i mesi di febbraio a settembre 2012, ho lavorato come insegnante a
contratto Comune di Praia Grande di insegnare come professore di storia.
Nel
2011 ho completato il corso della storia da Unimes virtuali, e grazie a
Dio ho superato in quattro concorsi per professore di storia.
Io racconto la mia esperienza come professore di storia alla scuola di Vila Mirim, una Grande Praia.
Toglierò
la nostalgia degli studenti come spettacolare: Roberto, Matheus
Aparecido, Matteo Rocha, Karen, Arthur, Isabella, Gabriela, David
Vieira, Rubenita e molti altri, gli studenti che potrebbero ottenere il
massimo da loro. Nel secondo trimestre, e tutti questi altri hanno più vicino a me con la nota 10. Arthur trascorso le vacanze in Portogallo e ha portato un ricordo per me. Padre
Matheus Rocha, parlava bene di professore di storia, dove ha lavorato
nell'industria in Cubatao e vedere come il mondo è piccolo, la ruota è
stato quello di parlare con mia sorella, che dopo la descrizione fornita
dal padre di Matteo, mia sorella notò mi dice. Mi ha fatto orgoglioso.
Gli insegnanti e gli altri dipendenti della Scuola Comunale Vila Mirim erano straordinari esseri umani. Erano uomini meravigliosi e donne, gay e alcuni erano il modello di vita per me. Sempre nel campo, ho parlato con Cleverson, docente di Geografia. Israele, professore di matematica, Alessandra insegnante portoghese. C'era anche un altro professore di storia, Luisa. Dato che questo personale era fresco, era una famiglia. Uno ha cercato di animare e incoraggiare l'altro quando gli intervalli, ha confessato le difficoltà affrontate in classe.
Approfittando
della nuova ondata di tecnologia spazzare il secolo, ha creato un blog
chiamato CADERNODEHISTORIADIGITAL.BLOGSPOT.COM. Ali studenti postavam sulle loro rispettive pagine, i riassunti delle loro lezioni. Ho
avuto qualche difficoltà e ottenere la partecipazione di tutti, ma
stranamente, ha funzionato e scritto tutti i vostri testi. Alcuni magri, altri belli, ma tutti nella stessa direzione.
Ogni settimana ho preparato lezioni con tutto l'affetto cercando di dare il meglio di me, e sapevo che mi affascinava. Alcuni studenti non ha simpatia per me, ma la maggior parte è piaciuto il modo divertente che ho insegnato.
This blog is being published in order to spread general knowledge about pedagogy and teaching focus on teaching according to the will of God to men, since theories come and go, but the Word of God remains. (By Teacher Valdemir Mota de Menezes)
quarta-feira, 12 de dezembro de 2012
segunda-feira, 10 de dezembro de 2012
ENSEIGNEMENT À DISTANCE - PAR VALDEMIR MOTA DE MENEZES
Le Scribe Valdemir Mota de Menezes défend le système des universités ouvertes et à distance. La nouvelle technologie a permis aux gens d'étudier à moindre coût et sans avoir à assister à la classe.
quinta-feira, 22 de novembro de 2012
INTERDISCIPLINARY PROJECT
Comment from: Professor Valdemir Mota de Menezes, the Scribe
This year 2012, the School where I teach the discipline of history, teachers gathered at the meetings of HTP (Pedagogical Work schedule) and developed a contest that lasted a week. In this period there was a competition pedagogical between students and the eighth year of the new elementary school. Each teacher directed classes regarding the discipline taught. Teachers of History, Science, Arts and so on., Guided students from each class for a month and prepared the exhibition or gymkhana. In the mix of History and Art, students "Ninth B" made a model of the school, with the material made of Styrofoam. In the mix of Physical Education and Mathematics was held a contest at the school that made the competition between the classes of the Eighth Year, parts of the activities were run and jump and was part of the competition questions with four alternatives. If the class who won a stage of the Physical Education err Alternatively, another chance was given to another group that was second in the stage of physical education. In Interdisciplinary Project and between classes, we had a significant participation of the students and above all with much excitement.
domingo, 11 de novembro de 2012
QUOTA: ETHNO-RACIALE ET SOCIAL
QUOTA: ETHNO-RACIALE ET SOCIAL
PAR: VALDEMIR MOTA DE MENEZES
• - Quelle est la contribution à l'éducation des minorités ethniques et raciales des relations et de la formation citoyenneté pour l'enseignement des sciences peut apporter »?• - L'enseignement des sciences et de l'éducation de l'ethno-raciale• - Impact des Sciences naturelles à la vie sociale et le racisme• Surmonter les stéréotypes - la valorisation de la diversité, et les sciences naturelles• - Afrique et leurs descendants et le monde scientifique• - Sciences, médias et ethno-raciale• - Connaissances traditionnelles d'Afrique et d'afro-brésilienne et des sciences
• 1 - ÉCOLE DES RELATIONS SCIENTIFIQUES ET ethnique et raciale• La science biologique nous montre que tous les groupes ethniques sont de la même famille, ce qui constitue une seule espèce: l'humain.• Dans le cours de l'histoire a eu de nombreux conflits entre États, habituellement conduits par l'avidité des gouvernants et la poursuite du pouvoir, parfois à la recherche de meilleures conditions de vie.• Les Africains réduits en esclavage comme l'Asie, les Asiatiques déjà réduits en esclavage des Européens, les Européens ont réduit en esclavage les Américains. Suprématie dans un moment historique donné ne justifie pas la suprématie d'un groupe ethnique sur un autre groupe racial.
• 2 - L'EDUCATION DES RELATIONS ETHNIQUES ET SOCIALES
- Le professeur de sciences devrait rappeler aux élèves que les êtres humains sont des créatures sociables et doit saisir l'occasion de l'abondance et de la richesse d'un peuple à rejoindre et d'aider d'autres personnes qui passent par une catastrophe climatique, naturelle ou sanitaire.- Tout grief historique doit être combattu avec le mot pardon appelé surhumaine: les Noirs et les Blancs à pardonner, pardonner les Juifs et les Arabes, les Grecs et les Turcs de pardonner, de pardonner les Hutus et les Tutsis. Nous pouvons bâtir un meilleur avenir dans la paix et si nous avons la grandeur de pardonner.
• 3 - SCIENCES NATURELLES ET LE RACISME• L'évolution de Charles Darwin, au détriment de l'Intelligent Design (créationnisme) était la cause de la disgrâce sociale et raciale plus grande dans l'histoire de la planète Terre. Hitler a fondé sa théorie raciste de la suprématie de la race aryenne, basée sur la sélection naturelle que Darwin a prétendu être le facteur de l'évolution des espèces, où les plus forts survivent et les espèces génétiquement améliorées.• Le créationnisme est une branche de la science biologique, parce que sa thèse est basée sur le postulat que la complexité biologique de la vie microscopique ne doit pas être le résultat de l'évolution aléatoire.
• 4 - EVALUATION DE LA DIVERSITE• Nous acceptons les modes de vie de nos voisins. Beaucoup critiquent le mode de vie des indigènes, et les considèrent comme «bons à rien». Mais penser le contraire. Un jour, un collègue m'a dit ce qui suit:• «Smart sont les Indiens, parce qu'ils travaillent assez à manger et passer le reste du temps pour s'amuser et se détendre. Nous, à la société capitaliste occidentale, a passé sa vie à travailler, étudier, rassembler la puissance tout le temps, dans l'espoir d'accumuler un actif qui garantit une retraite, allongé dans un hamac, boire du jus sur la plage. Beaucoup d'entre nous ne peut pas rêver de cela, mais les Indiens tout le temps de vivre notre rêve. Peut-être que ce que nous ressentons est jaloux des Indiens "
• 5 - AFRIQUE ET LEURS DESCENDANTS• Être noir, blanc ou indien, être européen, américain ou africain, ne sont pas ces stéréotypes extérieurs qui comptent dans la vie. Ce qui importe, c'est que nous essayons de cultiver les valeurs morales qui transcendent la particularité d'un peuple, comme la bonté, l'amour, la miséricorde, la fidélité, la patience et les autres vertus spirituelles qui nous fait mieux en tant qu'individu et non en tant que race.• Bon et du mauvais dans chaque ethnie a (Judas a trahi Jésus était juif et qui était également juif. Hitler était européenne et causé la mort de 50 millions d'Européens avec une guerre absurde. Noirs Noirs vendus aux négriers, alimentant l'esclavage en Amérique). Biologiquement et historiquement, nous sommes tous une famille, la famille humaine.
• CONCLUSION• Il ne faut pas regarder le système de quotas raciaux et sociaux comme quelque chose de négatif. Nous rendons grâce à Dieu pour avoir la santé et tous les membres et le fonctionnement des organes. Donner une meilleure chance pour les personnes handicapées qui ont des emplois garantis par le droit de l'emploi et des vagues étude, n'est pas la preuve de quoi que ce soit, mais l'amour.• Si nous avons l'amour dans nos cœurs, nous n'aurions pas besoin d'une loi pour garantir les droits des personnes handicapées, nous n'aurions pas besoin d'un statut personnes âgées pour garantir le droit des parents âgés sont pris en charge par leurs enfants.• Le jour que nous vivons avec l'amour et la chaleur, toutes les lois sont abolies, a sorti toutes les lumières, tous le drapeau sera exploité.
PAR: VALDEMIR MOTA DE MENEZES
• - Quelle est la contribution à l'éducation des minorités ethniques et raciales des relations et de la formation citoyenneté pour l'enseignement des sciences peut apporter »?• - L'enseignement des sciences et de l'éducation de l'ethno-raciale• - Impact des Sciences naturelles à la vie sociale et le racisme• Surmonter les stéréotypes - la valorisation de la diversité, et les sciences naturelles• - Afrique et leurs descendants et le monde scientifique• - Sciences, médias et ethno-raciale• - Connaissances traditionnelles d'Afrique et d'afro-brésilienne et des sciences
• 1 - ÉCOLE DES RELATIONS SCIENTIFIQUES ET ethnique et raciale• La science biologique nous montre que tous les groupes ethniques sont de la même famille, ce qui constitue une seule espèce: l'humain.• Dans le cours de l'histoire a eu de nombreux conflits entre États, habituellement conduits par l'avidité des gouvernants et la poursuite du pouvoir, parfois à la recherche de meilleures conditions de vie.• Les Africains réduits en esclavage comme l'Asie, les Asiatiques déjà réduits en esclavage des Européens, les Européens ont réduit en esclavage les Américains. Suprématie dans un moment historique donné ne justifie pas la suprématie d'un groupe ethnique sur un autre groupe racial.
• 2 - L'EDUCATION DES RELATIONS ETHNIQUES ET SOCIALES
- Le professeur de sciences devrait rappeler aux élèves que les êtres humains sont des créatures sociables et doit saisir l'occasion de l'abondance et de la richesse d'un peuple à rejoindre et d'aider d'autres personnes qui passent par une catastrophe climatique, naturelle ou sanitaire.- Tout grief historique doit être combattu avec le mot pardon appelé surhumaine: les Noirs et les Blancs à pardonner, pardonner les Juifs et les Arabes, les Grecs et les Turcs de pardonner, de pardonner les Hutus et les Tutsis. Nous pouvons bâtir un meilleur avenir dans la paix et si nous avons la grandeur de pardonner.
• 3 - SCIENCES NATURELLES ET LE RACISME• L'évolution de Charles Darwin, au détriment de l'Intelligent Design (créationnisme) était la cause de la disgrâce sociale et raciale plus grande dans l'histoire de la planète Terre. Hitler a fondé sa théorie raciste de la suprématie de la race aryenne, basée sur la sélection naturelle que Darwin a prétendu être le facteur de l'évolution des espèces, où les plus forts survivent et les espèces génétiquement améliorées.• Le créationnisme est une branche de la science biologique, parce que sa thèse est basée sur le postulat que la complexité biologique de la vie microscopique ne doit pas être le résultat de l'évolution aléatoire.
• 4 - EVALUATION DE LA DIVERSITE• Nous acceptons les modes de vie de nos voisins. Beaucoup critiquent le mode de vie des indigènes, et les considèrent comme «bons à rien». Mais penser le contraire. Un jour, un collègue m'a dit ce qui suit:• «Smart sont les Indiens, parce qu'ils travaillent assez à manger et passer le reste du temps pour s'amuser et se détendre. Nous, à la société capitaliste occidentale, a passé sa vie à travailler, étudier, rassembler la puissance tout le temps, dans l'espoir d'accumuler un actif qui garantit une retraite, allongé dans un hamac, boire du jus sur la plage. Beaucoup d'entre nous ne peut pas rêver de cela, mais les Indiens tout le temps de vivre notre rêve. Peut-être que ce que nous ressentons est jaloux des Indiens "
• 5 - AFRIQUE ET LEURS DESCENDANTS• Être noir, blanc ou indien, être européen, américain ou africain, ne sont pas ces stéréotypes extérieurs qui comptent dans la vie. Ce qui importe, c'est que nous essayons de cultiver les valeurs morales qui transcendent la particularité d'un peuple, comme la bonté, l'amour, la miséricorde, la fidélité, la patience et les autres vertus spirituelles qui nous fait mieux en tant qu'individu et non en tant que race.• Bon et du mauvais dans chaque ethnie a (Judas a trahi Jésus était juif et qui était également juif. Hitler était européenne et causé la mort de 50 millions d'Européens avec une guerre absurde. Noirs Noirs vendus aux négriers, alimentant l'esclavage en Amérique). Biologiquement et historiquement, nous sommes tous une famille, la famille humaine.
• CONCLUSION• Il ne faut pas regarder le système de quotas raciaux et sociaux comme quelque chose de négatif. Nous rendons grâce à Dieu pour avoir la santé et tous les membres et le fonctionnement des organes. Donner une meilleure chance pour les personnes handicapées qui ont des emplois garantis par le droit de l'emploi et des vagues étude, n'est pas la preuve de quoi que ce soit, mais l'amour.• Si nous avons l'amour dans nos cœurs, nous n'aurions pas besoin d'une loi pour garantir les droits des personnes handicapées, nous n'aurions pas besoin d'un statut personnes âgées pour garantir le droit des parents âgés sont pris en charge par leurs enfants.• Le jour que nous vivons avec l'amour et la chaleur, toutes les lois sont abolies, a sorti toutes les lumières, tous le drapeau sera exploité.
terça-feira, 16 de outubro de 2012
JOVEM SE MATA ERA HOMOSSEXUAL E VÍTIMA DE BULLING
JOVEM SE MATA ERA HOMOSSEXUAL E VÍTIMA DE BULLING
- O homossexualismo é algo feio, antinatural e ninguém com consciência pura pode aprovar este desvio físico-psíquico-espiritual. Tanto é que para muitos homossexuais eles são condenados primeiramente pelas suas próprias consciências. No curso da história incontáveis pessoas suicidaram-se por não aprovarem seus desejos libidinosos. Não quero com isso isentar de culpa os canalhas que nem ajudam o próximo, nem se mantêm neutros (esperando que Deus dará a cada um segundo as suas obras), mas são patifes e sentem prazer em infligir sofrimento no próximo. (Comentário de Valdemir Mota de Menezes, o Escriba)
JOVEM SE MATA ERA HOMOSSEXUAL E VÍTIMA DE BULLYING por Scribeofgodvaldemir
BULLYING TERMINA MAL PARA O AGRESSOR
Este caso aconteceu na Austrália, mas poderia ter acontecido em qualquer lugar do mundo. O agressor do “gordinho” é um estúpido total e incurável. Primeiro, ele levou o que mereceu, um golpe que fraturou sua perna. Tempos depois a TV australiana vai entrevista-lo e ele demonstra que não se mostra arrependido. Merecia outra surra pela entrevista estúpida que deu. Mas quero mesmo parabenizar a Austrália, que não esconde o rosto de infratores, mesmo que sejam menores de idade. No paraíso dos criminosos, o Brasil, menor infrator é tratado quase como uma divindade. (Comentário do Valdemir Mota de Menezes, o Escriba)
BULLYING TERMINA MAL PARA O AGRESSOR por Scribeofgodvaldemir
segunda-feira, 15 de outubro de 2012
ESCOLA E A PROMOTORIA
A indisciplina na sala de aula é um reflexo da família e da sociedade. Uma crise de autoridade se instalou no mundo ocidental. Hoje ser professor é ser humilhado por pirralhos. (Comentário do Professor Valdemir Mota de Menezes, o Escriba)
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Fonte:
http://www.atribuna.com.br/noticias.asp?idnoticia=169191&idDepartamento=5&idCategoria=0
Dia do professor
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Fonte:
http://www.atribuna.com.br/noticias.asp?idnoticia=169191&idDepartamento=5&idCategoria=0
Dia do professor
Promotor da Infância e da Juventude analisa conflitos das salas de aula
Maurício Martins
Há pais que usam a escola como “depósito” para os filhos. Contudo, a falta de profissionais capacitados, que tenham conhecimento do Estatuto da Criança e do Adolescente (ECA), provoca uma série de distorções na solução de conflitos dentro das escolas públicas e privadas. A análise é de Carlos Alberto Carmello Júnior, promotor da Infância e da Juventude do Ministério Público Estadual (MPE) em Santos. Para o promotor, os professores estão angustiados por não saber lidar com alunos que questionam a autoridade dos profissionais em sala de aula. Nesta entrevista, Carmello fala da indisciplina no ambiente escolar e destaca o papel do MPE nesse contexto.
Eu acho que existe uma percepção, por parte dos alunos, no sentido de que eles teriam mais liberdade em relação aos professores e à própria escola. Que eles estariam sempre tendo direitos e que estariam, de certa forma, assegurados, mesmo com todos os atos que a escola praticar, eventualmente, contra eles. Os alunos, hoje, diferentemente do passado, têm uma certa dificuldade em reconhecer a autoridade escolar. E tem um outro lado: muitas escolas, talvez por não compreenderem a dinâmica que envolve o Estatuto da Criança e do Adolescente e as Leis de Diretrizes e Bases (da Educação), acabam não tratando o adolescente de forma adequada, não sabendo lidar com situações de indisciplina.
As escolas têm medo de tomar atitudes?
Por várias razões. Existe desde o problema do desconhecimento técnico puro e simples, até algumas escolas que têm medo de perder alunos, no caso das particulares. No âmbito estadual, existem um regimento escolar, regras a serem observadas pelos alunos e pelos professores. De tal forma quem quando acontece um ato de indisciplina, existe um procedimento a ser feito. Mas, muitas vezes, mesmo nas escolas estaduais, isso não acaba acontecendo. Quando o aluno se envolve em um ato de indisciplina, a escola deve fazer alguma coisa. Mas, claro, tem que viabilizar a defesa do aluno, ouvir a voz dele, ele ou os pais têm de ter a oportunidade de se manifestar e, aí sim, a escola adota a postura que lhe parecer mais adequada. Mas as escolas parecem não saber quais são seus poderes e, em contrapartida, os adolescentes não sabem quais são seus limites.
O senhor falou de procedimento a ser observado. Qual seria ele?
A primeira coisa é o regimento interno da escola. O quanto ele está atualizado de forma a garantir ao aluno envolvido em indisciplina a oportunidade de defesa? Em que medida vai haver uma manifestação por um órgão imparcial, não envolvido diretamente no caso? Isso é importante ter, até como fator de segurança para todos os personagens. A comunidade escolar ganha muito com a existência de órgãos que lidem com atos de indisciplina e que tenham a sensibilidade de verificar o que é corriqueiro, do âmbito da própria escola, e o que resvala num comportamento criminoso, num ato infracional, que enseja uma situação policial.
E qual é o papel do Ministério Público nesses conflitos escolares?
Em primeiro lugar, o Ministério Público quer assegurar que as escolas tenham essa forma adequada de tratar o ato de indisciplina. Existem atos de indisciplina que têm de ficar dentro da escola e existem os que ultrapassam os limites da escola e têm de ser levados à delegacia de polícia. O MP quer que as escolas tenham pessoal adequado para fazer essa diferenciação. Uma briga entre dois alunos não necessariamente precisa repercutir na polícia. Se for um episódio corriqueiro, nunca tem que chegar à polícia. A escola tem que ter essa percepção. Para isso, ela tem que contar com equipe adequada, pessoal capacitado na área de Pedagogia.
Quais exemplos de atos dentro da escola devem ser levados ao Ministério Público?
Um adolescente traficando entorpecente dentro da escola, não tenho dúvida nenhuma. Alunos que brigam sistematicamente, com repercussão fora da escola, brigas de gangue. Agora, quando é uma briga entre dois alunos que se desentenderam na (aula de) Educação Física, ainda que um tenha dado um soco na boca do outro, não precisa chegar à polícia, é uma intercorrência escolar.
E nos casos envolvendo aluno e professor, como aconteceu recentemente em uma escola particular de Santos?
Não vou me manifestar a respeito de um caso particular. Mas, quando um aluno chega às vias de fato com a professora ou vice-versa, é um assunto que tem que ser tratado pela Promotoria de Justiça, para se verificar se aquilo aconteceu de forma isolada. Se, eventualmente, a professora fosse culpada, se ela tinha um histórico desse comportamento. O mesmo se aluno fosse culpado. Um aluno que tem esse tipo de comportamento rotineiramente está em situação de risco. O cara que não consegue reconhecer que está dentro de uma sala de aula, perante a autoridade de um professor, e resolve alguma insatisfação escolar pelas vias de fato está em situação de risco por omissão de quem está cuidando dele. É uma intercorrência escolar que casa com a atribuição do Ministério Público.
Em caso de culpa de um adolescente, os pais seriam responsabilizados?
Os pais detêm o poder familiar. É o poder-dever que todos os pais têm de ministrar aos filhos condições para um desenvolvimento sadio. O poder familiar pressupõe que sejam fornecidas comida, assistência material e moral, que é educar. É dizer para ele que, diante de uma insatisfação, não se pode partir para a violência.
E se a culpa fosse do professor?
Estaríamos diante de uma prestação de serviço educacional por uma pessoa que não está capacitada para fazer isso. Agora, eu vejo os professores numa situação de muita angústia com o que acontece hoje. Seja na escola particular, municipal ou estadual, o professor muitas vezes se vê desrespeitado, sem forças para dominar o alunado que o questiona a todo momento.
Por pagar mensalidade, os alunos das escolas particulares questionam mais os professores?
Não vejo dessa forma. Eu faço uma crítica aos pais: alguns encontram nas escolas um depósito para colocar seus filhos. Então é assim: “Eu me eximo do dever de estar com meu filho colocando ele no melhor colégio particular da Cidade”. Isso existe, infelizmente. É aquele pai que não tem hora para jantar com o filho, nunca almoça com o filho, que pouco ou nada sabe o que ele está estudando. Ele tem apenas a obrigação de pagar a mensalidade. Atribui a responsabilidade de criação para a própria escola. As razões são diversas: vão desde a falta de condição de ser pai e mãe... Algumas pessoas não deveriam ser pai ou mãe.
Qual a importância do projeto de Justiça Restaurativa nas escolas municipais?
Discutimos isso há uns cinco ou seis anos. Nosso Conselho Municipal dos Direitos da Criança e do Adolescente deliberou que teríamos Justiça Restaurativa em Santos. O Município, ao invés de buscar esse projeto maior, acabou por formatar um menor, que está sendo implementado agora. A gente louva a iniciativa de fazer alguns projetos que discutam práticas restaurativas nas escolas, mas esse projeto do Município é extremamente tímido na ponte que deve ser feita entre escola e Justiça.
O que o projeto da prefeitura não contempla, por exemplo?
A capacitação dos personagens que vão atuar nas escolas deve pressupor conhecimento envolvendo a dinâmica do ato infracional previsto no ECA, e isso não está no atual projeto. É inconcebível que um profissional que lide com Justiça Restaurativa desconheça a sistemática do instituto da remissão do ECA, que equivale a perdão, que pode ser dado pelo promotor ou juiz. Ou seja, não é realmente querer modificar a estrutura, mas fazer um paliativo. Nós queríamos uma capacitação que levasse quase meio ano.
Carlos Alberto Carmello Júnior é promotor da Infância e da Juventude do Ministério Público Estadual (MPE) em Santos
Como o senhor avalia hoje a relação entre aluno e professor nas escolas de um modo geral (públicas e privadas)?Eu acho que existe uma percepção, por parte dos alunos, no sentido de que eles teriam mais liberdade em relação aos professores e à própria escola. Que eles estariam sempre tendo direitos e que estariam, de certa forma, assegurados, mesmo com todos os atos que a escola praticar, eventualmente, contra eles. Os alunos, hoje, diferentemente do passado, têm uma certa dificuldade em reconhecer a autoridade escolar. E tem um outro lado: muitas escolas, talvez por não compreenderem a dinâmica que envolve o Estatuto da Criança e do Adolescente e as Leis de Diretrizes e Bases (da Educação), acabam não tratando o adolescente de forma adequada, não sabendo lidar com situações de indisciplina.
As escolas têm medo de tomar atitudes?
Por várias razões. Existe desde o problema do desconhecimento técnico puro e simples, até algumas escolas que têm medo de perder alunos, no caso das particulares. No âmbito estadual, existem um regimento escolar, regras a serem observadas pelos alunos e pelos professores. De tal forma quem quando acontece um ato de indisciplina, existe um procedimento a ser feito. Mas, muitas vezes, mesmo nas escolas estaduais, isso não acaba acontecendo. Quando o aluno se envolve em um ato de indisciplina, a escola deve fazer alguma coisa. Mas, claro, tem que viabilizar a defesa do aluno, ouvir a voz dele, ele ou os pais têm de ter a oportunidade de se manifestar e, aí sim, a escola adota a postura que lhe parecer mais adequada. Mas as escolas parecem não saber quais são seus poderes e, em contrapartida, os adolescentes não sabem quais são seus limites.
O senhor falou de procedimento a ser observado. Qual seria ele?
A primeira coisa é o regimento interno da escola. O quanto ele está atualizado de forma a garantir ao aluno envolvido em indisciplina a oportunidade de defesa? Em que medida vai haver uma manifestação por um órgão imparcial, não envolvido diretamente no caso? Isso é importante ter, até como fator de segurança para todos os personagens. A comunidade escolar ganha muito com a existência de órgãos que lidem com atos de indisciplina e que tenham a sensibilidade de verificar o que é corriqueiro, do âmbito da própria escola, e o que resvala num comportamento criminoso, num ato infracional, que enseja uma situação policial.
E qual é o papel do Ministério Público nesses conflitos escolares?
Em primeiro lugar, o Ministério Público quer assegurar que as escolas tenham essa forma adequada de tratar o ato de indisciplina. Existem atos de indisciplina que têm de ficar dentro da escola e existem os que ultrapassam os limites da escola e têm de ser levados à delegacia de polícia. O MP quer que as escolas tenham pessoal adequado para fazer essa diferenciação. Uma briga entre dois alunos não necessariamente precisa repercutir na polícia. Se for um episódio corriqueiro, nunca tem que chegar à polícia. A escola tem que ter essa percepção. Para isso, ela tem que contar com equipe adequada, pessoal capacitado na área de Pedagogia.
Quais exemplos de atos dentro da escola devem ser levados ao Ministério Público?
Um adolescente traficando entorpecente dentro da escola, não tenho dúvida nenhuma. Alunos que brigam sistematicamente, com repercussão fora da escola, brigas de gangue. Agora, quando é uma briga entre dois alunos que se desentenderam na (aula de) Educação Física, ainda que um tenha dado um soco na boca do outro, não precisa chegar à polícia, é uma intercorrência escolar.
E nos casos envolvendo aluno e professor, como aconteceu recentemente em uma escola particular de Santos?
Não vou me manifestar a respeito de um caso particular. Mas, quando um aluno chega às vias de fato com a professora ou vice-versa, é um assunto que tem que ser tratado pela Promotoria de Justiça, para se verificar se aquilo aconteceu de forma isolada. Se, eventualmente, a professora fosse culpada, se ela tinha um histórico desse comportamento. O mesmo se aluno fosse culpado. Um aluno que tem esse tipo de comportamento rotineiramente está em situação de risco. O cara que não consegue reconhecer que está dentro de uma sala de aula, perante a autoridade de um professor, e resolve alguma insatisfação escolar pelas vias de fato está em situação de risco por omissão de quem está cuidando dele. É uma intercorrência escolar que casa com a atribuição do Ministério Público.
Em caso de culpa de um adolescente, os pais seriam responsabilizados?
Os pais detêm o poder familiar. É o poder-dever que todos os pais têm de ministrar aos filhos condições para um desenvolvimento sadio. O poder familiar pressupõe que sejam fornecidas comida, assistência material e moral, que é educar. É dizer para ele que, diante de uma insatisfação, não se pode partir para a violência.
E se a culpa fosse do professor?
Estaríamos diante de uma prestação de serviço educacional por uma pessoa que não está capacitada para fazer isso. Agora, eu vejo os professores numa situação de muita angústia com o que acontece hoje. Seja na escola particular, municipal ou estadual, o professor muitas vezes se vê desrespeitado, sem forças para dominar o alunado que o questiona a todo momento.
Por pagar mensalidade, os alunos das escolas particulares questionam mais os professores?
Não vejo dessa forma. Eu faço uma crítica aos pais: alguns encontram nas escolas um depósito para colocar seus filhos. Então é assim: “Eu me eximo do dever de estar com meu filho colocando ele no melhor colégio particular da Cidade”. Isso existe, infelizmente. É aquele pai que não tem hora para jantar com o filho, nunca almoça com o filho, que pouco ou nada sabe o que ele está estudando. Ele tem apenas a obrigação de pagar a mensalidade. Atribui a responsabilidade de criação para a própria escola. As razões são diversas: vão desde a falta de condição de ser pai e mãe... Algumas pessoas não deveriam ser pai ou mãe.
Qual a importância do projeto de Justiça Restaurativa nas escolas municipais?
Discutimos isso há uns cinco ou seis anos. Nosso Conselho Municipal dos Direitos da Criança e do Adolescente deliberou que teríamos Justiça Restaurativa em Santos. O Município, ao invés de buscar esse projeto maior, acabou por formatar um menor, que está sendo implementado agora. A gente louva a iniciativa de fazer alguns projetos que discutam práticas restaurativas nas escolas, mas esse projeto do Município é extremamente tímido na ponte que deve ser feita entre escola e Justiça.
O que o projeto da prefeitura não contempla, por exemplo?
A capacitação dos personagens que vão atuar nas escolas deve pressupor conhecimento envolvendo a dinâmica do ato infracional previsto no ECA, e isso não está no atual projeto. É inconcebível que um profissional que lide com Justiça Restaurativa desconheça a sistemática do instituto da remissão do ECA, que equivale a perdão, que pode ser dado pelo promotor ou juiz. Ou seja, não é realmente querer modificar a estrutura, mas fazer um paliativo. Nós queríamos uma capacitação que levasse quase meio ano.
quarta-feira, 19 de setembro de 2012
DISINTEREST IN CLASSROOM
Disinterest in CLASSROOM
For Valdemir Mota de Menezes
For Valdemir Mota de Menezes
A crucial point is that in my view: The student felt the need to solve a problem. The lack of interest in class has been one of the serious problems facing teachers and educators who seek magic formulas, teaching strategies and every possible device to excite students to study. Some methods are better than others, some are more attractive and other boring, but if the student does not feel the need to learn, the teacher arrives at your limit, after all, the teachers think, "Why I'm staying with a consuming student who want nothing, instead of investing in my forces that really want to learn??
quinta-feira, 30 de agosto de 2012
GINCANA ESCOLAR
Gincana escolar na Escola Vila Mirim de Praia Grande/SP/Brasil, onde o professor de História Valdemir Mota de Menezes participou como jurado. Pequeno vídeo da aparesentação das turmas.
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segunda-feira, 13 de agosto de 2012
PROFESSOR ASSASSINADO POR ALUNO
Como professor da rede pública municipal sei como os alunos que desrespeita-me em sala de aula, causando-me vexame diante da classe, estão cada vez mais propensos a fazerem barbárie como fizeram com o professor Kássio Vinicius. (Professor Valdemir Mota de Menezes, o Escriba)
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(Eu acuso !)
(Tributo ao professor Kássio Vinícius Castro Gomes)
« Mon devoir est de parler, je ne veux pas être complice. (Émile Zola)
Meu dever é falar, não quero ser cúmplice. (...) (Émile Zola)
Foi
uma tragédia fartamente anunciada. Em milhares de casos, desrespeito.
Em outros tantos, escárnio. Em Belo Horizonte, um estudante processa a
escola e o professor que lhe deu notas baixas, alegando que teve danos
morais ao ter que virar noites estudando para a prova subsequente.
(Notem bem: o alegado “dano moral” do estudante foi ter que...
estudar!).
A
coisa não fica apenas por aí. Pelo Brasil afora, ameaças constantes.
Ainda neste ano, uma professora brutalmente espancada por um aluno. O
ápice desta escalada macabra não poderia ser outro.
O
professor Kássio Vinícius Castro Gomes pagou com sua vida, com seu
futuro, com o futuro de sua esposa e filhas, com as lágrimas eternas de
sua mãe, pela irresponsabilidade que há muito vem tomando conta dos
ambientes escolares.
Há
uma lógica perversa por trás dessa asquerosa escalada. A promoção do
desrespeito aos valores, ao bom senso, às regras de bem viver e à
autoridade foi elevada a método de ensino e imperativo de convivência
supostamente democrática.
No
início, foi o maio de 68, em Paris: gritava-se nas ruas que “era
proibido proibir”. Depois, a geração do “não bate, que traumatiza”. A
coisa continuou: “Não reprove, que atrapalha”. Não dê provas difíceis,
pois “temos que respeitar o perfil dos nossos alunos”. Aliás, “prova
não prova nada”. Deixe o aluno “construir seu conhecimento.” Não vamos
avaliar o aluno. Pensando bem, “é o aluno que vai avaliar o professor”.
Afinal de contas, ele está pagando...
E
como a estupidez humana não tem limite, a avacalhação geral epidêmica,
travestida de “novo paradigma” (Irc!), prosseguiu a todo vapor, em
vários setores: “o bandido é vítima da sociedade”, “temos que mudar
‘tudo isso que está aí’; “mais importante que ter conhecimento é ser
‘crítico’.”
Claro
que a intelectualidade rasa de pedagogos de panfleto e burocratas
carreiristas ganhou um imenso impulso com a mercantilização desabrida
do ensino: agora, o discurso anti-disciplina é anabolizado pela lógica
doentia e desonesta da paparicação ao aluno – cliente...
Estamos
criando gerações em que uma parcela considerável de nossos cidadãos é
composta de adultos mimados, despreparados para os problemas, decepções
e desafios da vida, incapazes de lidar com conflitos e, pior, dotados
de uma delirante certeza de que “o mundo lhes deve algo”.
Um
desses jovens, revoltado com suas notas baixas, cravou uma faca com
dezoito centímetros de lâmina, bem no coração de um professor.
Tirou-lhe tudo o que tinha e tudo o que poderia vir a ter, sentir, amar.
Ao
assassino, corretamente , deverão ser concedidos todos os direitos que
a lei prevê: o direito ao tratamento humano, o direito à ampla defesa,
o direito de não ser condenado em pena maior do que a prevista em lei.
Tudo isso, e muito mais, fará parte do devido processo legal, que se
iniciará com a denúncia, a ser apresentada pelo Ministério Público. A
acusação penal ao autor do homicídio covarde virá do promotor de
justiça. Mas, com a licença devida ao célebre texto de Emile Zola, EU
ACUSO tantos outros que estão por trás do cabo da faca:
EU ACUSO a pedagogia ideologizada, que pretende relativizar tudo e todos, equiparando certo ao errado e vice-versa;
EU
ACUSO os pseudo-intelectuais de panfleto, que romantizam a “revolta dos
oprimidos”e justificam a violência por parte daqueles que se sentem
vítimas;
EU
ACUSO os burocratas da educação e suas cartilhas do politicamente
correto, que impedem a escola de constar faltas graves no histórico
escolar, mesmo de alunos criminosos, deixando-os livres para tumultuar
e cometer crimes em outras escolas;
EU
ACUSO a hipocrisia de exigir professores com mestrado e doutorado,
muitos dos quais, no dia a dia, serão pressionados a dar provas bem
tranqüilas, provas de mentirinha, para “adequar a avaliação ao perfil
dos alunos”;
EU
ACUSO os últimos tantos Ministros da Educação, que em nome de
estatísticas hipócritas e interesses privados, permitiram a
proliferação de cursos superiores completamente sem condições,
freqüentados por alunos igualmente sem condições de ali estar;
EU
ACUSO a mercantilização cretina do ensino, a venda de diplomas e
títulos sem o mínimo de interesse e de responsabilidade com o conteúdo
e formação dos alunos, bem como de suas futuras missões na sociedade;
EU
ACUSO a lógica doentia e hipócrita do aluno-cliente, cada vez menos
exigido e cada vez mais paparicado e enganado, o qual, finge que não
sabe que, para a escola que lhe paparica, seu boleto hoje vale muito
mais do que seu sucesso e sua felicidade amanhã;
EU
ACUSO a hipocrisia das escolas que jamais reprovam seus alunos, as
quais formam analfabetos funcionais só para maquiar estatísticas do IDH
e dizer ao mundo que o número de alunos com segundo grau completo
cresceu “tantos por cento”;
EU
ACUSO os que aplaudem tais escolas e ainda trabalham pela massificação
do ensino superior, sem entender que o aluno que ali chega deve ter o
mínimo de preparo civilizacional, intelectual e moral, pois estamos
chegando ao tempo no qual o aluno “terá direito” de se tornar médico ou
advogado sem sequer saber escrever, tudo para o desespero de seus
futuros clientes-cobaia;
EU
ACUSO os que agora falam em promover um “novo paradigma”, uma “ nova
cultura de paz”, pois o que se deve promover é a boa e VELHA cultura da
“vergonha na cara”, do respeito às normas, à autoridade e do respeito
ao ambiente universitário como um ambiente de busca do conhecimento;
EU ACUSO os “cabeça – boa” que acham e ensinam que disciplina é “careta”, que respeito às normas é coisa de velho decrépito,
EU
ACUSO os métodos de avaliação de professores, que se tornaram templos
de vendilhões, nos quais votos são comprados e vendidos em troca de
piadinhas, sorrisos e notas fáceis;
EU
ACUSO os alunos que protestam contra a impunidade dos políticos, mas
gabam-se de colar nas provas, assim como ACUSO os professores que,
vendo tais alunos colarem, não têm coragem de aplicar a devida punição.
EU
VEEMENTEMENTE ACUSO os diretores e coordenadores que impedem os
professores de punir os alunos que colam, ou pretendem que os
professores sejam “promoters” de seus cursos;
EU
ACUSO os diretores e coordenadores que toleram condutas desrespeitosas
de alunos contra professores e funcionários, pois sua omissão quanto
aos pequenos incidentes é diretamente responsável pela ocorrência dos
incidentes maiores;
Uma
multidão de filhos tiranos que se tornam alunos -clientes, serão
despejados na vida como adultos eternamente infantilizados e totalmente
despreparados, tanto tecnicamente para o exercício da profissão, quanto
pessoalmente para os conflitos, desafios e decepções do dia a dia.
Ensimesmados
em seus delírios de perseguição ou de grandeza, estes jovens mostram
cada vez menos preparo na delicada e essencial arte que é lidar com
aquele ser complexo e imprevisível que podemos chamar de “o outro”.
A infantilização eterna cria a seguinte e horrenda lógica, hoje na cabeça de muitas crianças em corpo de adulto: “Se
eu tiro nota baixa, a culpa é do professor. Se não tenho dinheiro, a
culpa é do patrão. Se me drogo, a culpa é dos meus pais. Se furto,
roubo, mato, a culpa é do sistema. Eu, sou apenas uma vítima. Uma
eterna vítima. O opressor é você, que trabalha, paga suas contas em dia
e vive sua vida. Minhas coisas não saíram como eu queria. Estou com
muita raiva. Quando eu era criança, eu batia os pés no chão. Mas agora,
fisicamente, eu cresci. Portanto, você pode ser o próximo.”
Qualquer
um de nós pode ser o próximo, por qualquer motivo. Em qualquer lugar,
dentro ou fora das escolas. A facada ignóbil no professor Kássio dói no
peito de todos nós. Que a sua morte não seja em vão. É hora de
repensarmos a educação brasileira e abrirmos mão dos modismos e
invencionices. A melhor “nova cultura de paz” que podemos adotar nas
escolas e universidades é fazermos as pazes com os bons e velhos
conceitos de seriedade, responsabilidade, disciplina e estudo de
verdade.
Igor Pantuzza Wildmann
terça-feira, 31 de julho de 2012
AULAS PELIGROSAS
Soy un profesor de historia de los estudiantes de primaria para el octavo año y el nuevo en la escuela pública en la ciudad de Praia Grande, y reconocer que la violencia estudiantil va en aumento y que la culpa debe ser compartida entre los padres, el gobierno, el propio estudiante, los los medios de comunicación y el espíritu de la época, además de las fuerzas del mal cuando se acercan al final de los tiempos, tendrá más libertad para operar entre los hombres (Scribe comentario Valdemir Mota de Menezes)
terça-feira, 5 de junho de 2012
PARÂMETROS CURRICULARES DE HISTÓRIA
1 Os Parâmetros Curriculares Nacionais/PCNs de História
1 Os Parâmetros Curriculares Nacionais/PCNs de História
A elaboração dos Parâmetros Curriculares Nacionais:
O final da ditadura militar no Brasil, em 1985, desencadeou uma série de mudanças que se fizeram sentir nos mais diferentes setores da sociedade. A primeira e mais importante delas foi a discussão e a promulgação da nova Constituição, denominada "Constituição Cidadã" por ampliar os direitos sociais, os denominados direitos de cidadania. Dentre eles, situa-se o direito à educação regulamentada como direito de todos e de responsabilidade do Estado brasileiro. Vale a pena você consultar a atual Constituição e ler o Capítulo III, Seção I, artigos de nº 205 a 214, e verificar o que a Constituição regulamenta para a educação.
No processo de redemocratização entrou também na pauta de discussão nacional a elaboração de uma nova lei de diretrizes e bases para a educação brasileira e, após quase dez anos de discussões e diferentes anteprojetos, foi aprovado o Projeto de autoria de Darcy Ribeiro que resultou na Lei de Diretrizes e Bases da Educação Nacional, a L.D.B. nº 9394, sancionada em 1996. Em consonância com o disposto na atual L.D.B foram aprovadas as Diretrizes Curriculares Nacionais, as D.C.Ns, para os diferentes níveis da educação básica e, após a publicação delas, o Ministério da Educação, o MEC, convidou uma equipe de especialistas de diferentes áreas para a elaboração de Parâmetros Curriculares Nacionais, orientações didáticas dirigidas aos professores como subsídios para a prática docente.
ENADE
Alô professores e colegas,
Estava dando uma pesquisada sobre o ENADE e estava vendo que o mesmo é aplicado desde 2004. Este Exame Nacional serve para avaliar o desempenho dos alunos ingressantes e concluintes dos cursos de graduação. A estimativa é que 400 mil alunos farão a prova em novembro de 2011. A inscrição dos alunos que submeter-se-ão a prova é de responsabilidade da instituição de ensino em que o estudante está matriculado.
Em 2011 os alunos dos cursos abaixo alistados deverão fazer a prova do ENADE:
Em 2011 os alunos dos cursos abaixo alistados deverão fazer a prova do ENADE:
- Arquitetura e urbanismo
- Engenharia
- Biologia (bacharelado e licenciatura)
- Ciências Sociais (bacharelado e licenciatura)
- Computação (bacharelado e licenciatura)
- Filosofia (bacharelado e licenciatura)
- Física (bacharelado e licenciatura)
- Geografia (bacharelado e licenciatura)
- História (bacharelado e licenciatura)
- Letras (bacharelado e licenciatura)
- Matemática (bacharelado e licenciatura)
- Química (bacharelado e licenciatura)
- Pedagogia (licenciatura)
- Educação Física (licenciatura)
- Artes Visuais (licenciatura)
- Música (licenciatura).
e os alunos dos cursos tecnólogos em:
- Alimentos
- Construção de Edifícios
- Automação industrial
- Gestão da produção industrial
- Manutenção industrial
- Processos químicos
- Fabricação mecânica
- Análise e desenvolvimento de sistemas
- Redes de computadores
- Saneamento ambiental.
O Enade serve para também se avaliar a Universidade, portanto o aluno ao fazer a prova esta representando a Universidade na qual se matriculou para conquistar o Diploma de Curso Superior. Com os resultados das provas, é elaborado uma lista com o rank das universidades que tiveram o melhor desempenho nacional. O aluno que não tem bom desempenho prejudica a si mesmo e a instituição que o aceitou como aluno. Podemos assim dizer que uma Universidade também é representada pelos seus alunos, e não somente pela sua reitoria e corpo docente.
Quem se aplica na prova do ENADE não está lutando pela Universidade junto aos órgão públicos, está acima de tudo respeitando o seu diploma. Quem deseja ler o Manual de 2010 do ENADE pode acessar a página na WEB: http://enadepucrs.uni5.net/enadepucrs/enade_geral/manual-do-enade/
Um dos últimos resultados do ENADE mostrou um resultado alarmante, o nível dos alunos que entram na Universidade é melhor dos que o nível dos que estão se formando. Isso para mim reflete uma tendência de libertinagem por partes dos universitários. Muitos acabam de completar a maioridade e priorizam mais a liberdade do que a responsabilidade. Vão para a Universidade mais pelas amizades, e pelas festinhas do que no intuito genuíno de aprender.
As Universidades perderam a força de coagir os alunos a terem bons desempenhos, pois logo os "barraqueiros" ameaçam deixar a Universidade e se transferir para outra instituição. O desmantelamento da família, e o entretenimento da TV é causa de muitos pais não acompanharem o desempenho dos filhos da Universidade, pois estes agora se acham "donos do seu próprio nariz".
Quem se aplica na prova do ENADE não está lutando pela Universidade junto aos órgão públicos, está acima de tudo respeitando o seu diploma. Quem deseja ler o Manual de 2010 do ENADE pode acessar a página na WEB: http://enadepucrs.uni5.net/enadepucrs/enade_geral/manual-do-enade/
Um dos últimos resultados do ENADE mostrou um resultado alarmante, o nível dos alunos que entram na Universidade é melhor dos que o nível dos que estão se formando. Isso para mim reflete uma tendência de libertinagem por partes dos universitários. Muitos acabam de completar a maioridade e priorizam mais a liberdade do que a responsabilidade. Vão para a Universidade mais pelas amizades, e pelas festinhas do que no intuito genuíno de aprender.
As Universidades perderam a força de coagir os alunos a terem bons desempenhos, pois logo os "barraqueiros" ameaçam deixar a Universidade e se transferir para outra instituição. O desmantelamento da família, e o entretenimento da TV é causa de muitos pais não acompanharem o desempenho dos filhos da Universidade, pois estes agora se acham "donos do seu próprio nariz".
Aqui concluo com uma questão reflexiva e que cada colega deve responder para si mesmo: Você está em busca de Diploma ou de conhecimento???
Saudações
Valdemir Mota de Menezes.
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REFERÊNCIAS
http://portal.mec.gov.br/index.php?Itemid=313&id=181&option=
com_content&view=article
http://educacao.uol.com.br/enade/
http://www.ulbra.br/enade/
http://enadepucrs.uni5.net/enadepucrs/
http://enadepucrs.uni5.net/enadepucrs/enade_geral/manual-do-enade/
www.schwartzman.org.br/simon/enade.pdf
TEORIA E PRÁTICA NO FAZER PEDAGÓGICO
Por Valdemir Mota de Menezes
Falando de Teoria e prática no sentido do fazer pedagógico, quero mais uma vez mostra que estou na contra-mão da teoria vigente nos nossos dias que tem como um dos baluartes, o senhor Paulo Freire e companhia. Esta nova pedagogia democrática, de ensino-aprendizagem, de relação de igualdade entre professor e aluno é uma teoria bonita para se ler, mas na prática, no exercício da profissão de professor em periferias de grandes centros urbanos, esta teoria aniquilou com a educação, porque os professores simplesmente perderam o controle da sala de aula. Somente restaurando a hierarquia e o pulso forte é que a Ordem e o Progresso encontrará seu caminho. Considero-me anacrônico, porque minhas idéias são incompatíveis com a minha geração. Mas meus olhos vêm todos os dias que esta nova metodologia pedagógica de "ouvir" e dá liberdade aos alunos de se expressarem e outras falácias, são imprestáveis para educar e corrigir a juventude. Na prática, a teoria é outra.
ESCOLA DUQUE DE CAXIAS EM SÃO VICENTE
Olá Walberto e colegas,
Já que estão falando da Escola Municipal Duque de Caixas de São Vicente, tenho a acrescentar que nunca estudei lá, mas minhas duas filhas estudam ali, vou eventualmente lá e já participei obviamente de reunião com os pais de alunos. Minhas filhas falam bem dos funcionários da escola, inclusive as professoras. Ao que vejo nos cadernos das minhas filhas, o ensino na escola parece-me satisfatório.
Valdemir
Valdemir
ETIQUETA NA ESCOLA
Por Valdemir Mota de Menezes
Este tal boné na cabeça ainda é motivo de código social que representa respeito ao ambiente. Assim é que nas décadas passada, as pessoas retiravam a cobertura da cabeça ao entrar em certos estabelecimentos. Ainda hoje esta regra é levada a risca no fórum. A pouco tempo atrás entrei no fórum de Cubatão, com uniforme da Polícia Civil e o porteiro exigiu que eu tirasse o boné da cabeça com o brasão com símbolo do Poder Público. Os delinquentes também sabem que adentrarem em uma delegacia devem tirar o boné da cabeça. Por mais que seja um contrassenso, muitos dos cidadãos não observam esta regra de etiqueta ao entrarem na delegacia de Polícia. Como sou anacrônico, conservador, pró-militarismo e medieval acho que etiquetas que representam cordialidade, educação e respeito, nunca é demais.
PROJETOS NA ESCOLA
Projeto – É toda forma de pesquisa que busca a solução de um problema. Todo projeto é um plano para realizar uma determinada tarefa.
Projeto de Ensino – é uma terminologia que se aplica ao método que será empregado para ensinar, seja por meio de discurso, leitura, pesquisa e outros planos de ensino.
Projeto pedagógico – É a maneira como se vai trabalhar todos os conteúdos escolares, desde a estrutura da escola, as disciplinas, os horários de aula e outras atividades relativa a direção escolar.
Projeto de Trabalho – Esta é a direção que é dada ao projeto de aprendizado, onde é facultado aos alunos uma certa liberdade para “trabalhar” e montar a sua pesquisa. Aos professores cabe apenas indicar a direção, os meios e o objetivo do trabalho que se pretende que seja executado pelos discentes.
Projeto de Aprendizagem – Durante a pesquisa e o trabalho, o aluno vai construindo seu conhecimento, duvidas vão surgindo, e certezas vão se estabelecendo.
Projeto Interdisciplinar – Com o intuito de facilitar o aprendizado, as áreas dos conhecimento foram classificadas em disciplinas como matemática, literatura, história e outras tantas. Mas em um projeto Interdisciplinar, o problema apresentado exige que os alunos trabalhem várias disciplinas ao mesmo tempo. Hoje é uma tendência que haja na Educação projetos que aportem várias disciplina para que se alcance um objetivo escolar.
JOVENS INDISCIPLINADOS
Por Valdemir Mota de Menezes
Olá colegas,
Estava analisando o texto de Júlio Groppa Aquino, intitulado de "Jovens indisciplinados: quem são, Como agem?" O autor cita o pensador francês Fraçois Dubet que classifica os quatro personagens discentes como sendo:
1 - Os diligentes
2 - Os medíocres
3 - As vítimas
4 - Os transgressores.
O foco do autor, em seu discurso, é justamente o quarto grupo, que denominamos comumente de alunos indisciplinados. Seu trabalho acadêmico foi fundamentado em uma pesquisa de campo, onde foi analisado as condutas repreensíveis dos alunos em uma escola no espaço de um ano.
A maioria das ocorrências de indisciplinas, de acordo com esta pesquisa realizada em 2003, estava agrupada no campo das infrações regimentais da escola, do tipo, não fazer a lição, não trazer o material escolar, cabular aulas e outras semelhantes. Na visão do professor Júlio tais registros não traduzem em números alarmantes como se pensava. Em um universo de 182 alunos, 73 deles se envolveram em ocorrências.
Apesar do otimismo do pesquisador ao concluir que:
1 - Os diligentes
2 - Os medíocres
3 - As vítimas
4 - Os transgressores.
O foco do autor, em seu discurso, é justamente o quarto grupo, que denominamos comumente de alunos indisciplinados. Seu trabalho acadêmico foi fundamentado em uma pesquisa de campo, onde foi analisado as condutas repreensíveis dos alunos em uma escola no espaço de um ano.
A maioria das ocorrências de indisciplinas, de acordo com esta pesquisa realizada em 2003, estava agrupada no campo das infrações regimentais da escola, do tipo, não fazer a lição, não trazer o material escolar, cabular aulas e outras semelhantes. Na visão do professor Júlio tais registros não traduzem em números alarmantes como se pensava. Em um universo de 182 alunos, 73 deles se envolveram em ocorrências.
Apesar do otimismo do pesquisador ao concluir que:
“Em certa medida, pode-se concluir que o cotidiano da escola pesquisada é modelo de logro da ordem disciplinar clássica. Aqui, triunfa um conjunto de usos e costumes nitidamente prosaico e rotineiro. Desta feita, nada de novo parece haver sob o sol escolar investigado”
No meu ponto de vista, os números são apocalípticos. Cerca da metade dos alunos se envolveram em ocorrências e aprofundando-se nos números vemos que muitas transgressões estavam direcionadas ao professor que não é respeitado em sala de aula. Ainda que nesta pesquisa não se relatou nenhum fato mais grave, torna-se cada vez mais frequente professores serem agredidos e ameaçados por alunos, que se sentem amparados pela ECA (Estatuto da Criança e do Adolescente) enquanto em direção oposta, os professores estão sendo responsabilizados pelo fracasso educacional e sem amparo legal para punir os alunos indisciplinados. Na atual conjuntura, foi tirado dos professores o poder de disciplinar e sem medo de sanções e confiantes na impunidade, a transgressão se torna cada vez mais convidativa.
PLÁGIO NO TCC
Ao mestre com carinho...
Reconheço que estamos precisando levar a sério o curso de Licenciatura em História, até para não passarmos vergonha como fraudulentos professores de história. Mas acredito que nosso grupo é composto de pessoas que tem alta-determinação de vencer na vida e vencer no nosso processo de aprendizagem. Estamos aberto a críticas, principalmente porque merecemos. O professor teve que montar o nosso grupo porque a começar por mim, não demos o esforço mínimo necessário para se organizar na fase anterior do TCC.
Agora veio a "raquetada" do plágio do TCC, mas não tem nada não. Agora apresentamos uma correção do trabalho, fazendo uma releitura do livro, sem consultas...
Peço ao professor mais uma vez compreensão e analise esta nova versão do nosso trabalho. Este pode consultar no google, não tem cópia nem plágio. Mas aponte nossos erros, para corrigirmos.
Agora veio a "raquetada" do plágio do TCC, mas não tem nada não. Agora apresentamos uma correção do trabalho, fazendo uma releitura do livro, sem consultas...
Peço ao professor mais uma vez compreensão e analise esta nova versão do nosso trabalho. Este pode consultar no google, não tem cópia nem plágio. Mas aponte nossos erros, para corrigirmos.
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Caro professor
Com disse, agora estou com mais disposição de tempo e estou procurando por em ordem o trabalho do TCC, acabei de conversar com Ângela pelo telefone e já estamos interagindo para apresentar esta etapa do trabalho.
Reitero meu pedido de desculpas para o professor e os componentes do grupo 17. Não vamos desistir, vamos consertar e seguir na estrada rumo ao conhecimento e esta conquista acadêmica que acredito ser motivo de orgulho para nós, os alunos, os professores e os que nos amam. O objetivo será alcançado pela renovação do entusiasmo.
Com disse, agora estou com mais disposição de tempo e estou procurando por em ordem o trabalho do TCC, acabei de conversar com Ângela pelo telefone e já estamos interagindo para apresentar esta etapa do trabalho.
Reitero meu pedido de desculpas para o professor e os componentes do grupo 17. Não vamos desistir, vamos consertar e seguir na estrada rumo ao conhecimento e esta conquista acadêmica que acredito ser motivo de orgulho para nós, os alunos, os professores e os que nos amam. O objetivo será alcançado pela renovação do entusiasmo.
ESTÁGIO CURRICULAR E EXERCÍCIO DE REFLEXÃO
UNIMES VIRTUAL
VALDEMIR MOTA DE MENEZES
EXERCÍCIO DE REFLEXÃO
ESTÁGIO CURRICULAR SUPERVISIONADO DO CURSO DE LICENCIATURA EM HISTÓRIA
SANTOS
2001
UNIMESVIRTUAL
VALDEMIR MOTA DE MENEZES
EXERCÍCIO DE REFLEXÃO
ESTÁGIO CURRICULAR SUPERVISIONADO DO CURSO DE LICENCIATURA EM HISTÓRIA
Plano de aula apresentado para a atividade de Estágio Curricular Supervisionado, do Curso Licenciatura em História sob a orientação d(o) Prof. Wesley Nunes.
SANTOS
2011
Exercício de Reflexão
Neste espaço de reflexão quero fazer algumas considerações sobre o Estágio Curricular Supervisionado.
Depois de décadas fora da escola tradicional de Ensino Fundamental e Médio, este ano de 2011 tive a oportunidade de novamente conviver em ambiente escolar. Confesso que de início fiquei chocado. Primeiro porque aquele ambiente barulhento e quase ensurdecedor no intervalo escolar me parecia ameaçador. Segundo, porque culturalmente, meu emprego em cartório criminal de delegacia de Polícia me faz trabalha em um ambiente de silêncio. Então, eu atravessava a Avenida Ulisses Guimarães e ia para a Escola em frente e ao passar no pátio, aquele tumulto, parecia o fim do mundo. Em terceiro lugar, acho que já estou ficando um pouco velho, passei dos 40 anos e parece que os nossos interesses e gostos mudam. O silêncio parece-me mais convidativo. Passado o primeiro choque cultural....
O contato com os professores e funcionários da escola foi muito mais agradável, muitos deles estão lutando contra um sistema que tem desvalorizado a docência e mesmo assim eles não desanimam. Isto é, alguns desanimam sim, e percebia que para alguns o fardo parece muito pesado. Em todos os setores da sociedade do século XXI tenho percebido cada vez mais um número ainda maior de pessoas que estão entrando com Licença-saúde, muitas destas pessoas estão com problemas psiquiátricos. Dentre as profissões que parecem criar um maior exército de neuróticos, estão os motoristas de ônibus das grandes metrópoles, os policiais e os professores. Estas três classes estão mais expostas a violência e a pressão da vida moderna. A cobrança tem sido demais para muitos professores. Tenho conversado com muitos professores e muitos deles estão doentes. Muitos trabalham com um coquetel de remédios e tranqüilizantes. Se a pressão diminuiu para os alunos, parece ter aumentado significativamente para os professores.
VALDEMIR MOTA DE MENEZES
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